Sixteen tons

(Ernie Tennessee Ford - paroles de Merle Tarvis - 1947) (Evoque la vie des mineurs du Kentuky.
Some people say a man is made out of mud
A poor man's made out of muscle and blood
Muscle and blood and skin and bones
A mind that's weak and a back that's strong

Refrain :
You load sixteen tons, and what do you get
Another day older and deeper in debt
Saint Peter don't you call me 'cause I can't go
I owe my soul to the company store

I was born one mornin' when the sun didn't shine
I picked up my shovel and I walked to the mine
I loaded sixteen tons of number nine coal
And the straw boss said, "Well, bless my soul!";

Refrain

I was born one mornin', it was drizllin' rain
Fightin' and trouble are my middle name
I was raised in a cane break by an ol' mama lion
Can't no high-toned woman make me walk no line

Refrain

If you see me comin' better step aside
A lot of men didn't, a lot of men died
One fist of iron, the other of steel
If the right one don't get you, then the left one will

Refrain
Certaines personnes disent l'homme est fait avec de la boue
Un pauvre homme est fait de muscles et de sang
De muscles et de sang, de peau et d’os
D’un esprit qui est faible et d’un dos qui est fort.

Refrain :
Vous chargez seize tonnes et qu’est-ce que vous obtenez
Un autre jour de plus et encore plus de dettes
Saint-Pierre, ne me rappelez pas car je ne peux pas m’en aller,
Je dois mon âme au magasin de la compagnie

Refrain

Je suis né un matin où le soleil ne brillait pas
J'ai ramassé ma pelle et je suis allée à la mine,
J’ai chargé seize tonnes de charbon numéro neuf
Et le patron du magasin- a dit "bien, bénissez mon âme !"

Refrain

Je suis né un matin où il bruinait
Je suis la baguarre et les problèmes incarnés
J'ai été élevé dans les roseaux par une vieille mama lionne
Aucune femme prétentieuse ne peut me faire marcher

Refrain

Si vous me voyez venir, mieux vaut faire un pas de côté
Beaucoup ne l’ont pas fait et beaucoup en sont morts,
Un poing de fer, l'autre en acier
Si celui de droite ne vous atteint pas, alors celui de gauche le fera.

Refrain